La ferme des Larkins

Voici un plan de la situation. J'ai indiqué où vous vous trouvez. Les autres (Ed, Clay, Alfred) sont tous près de vous.




Devant vous, c'est la maison.

Le bâtiment plus loin est la grange.

(Comme tu as dis que ce n'était pas verrouille dans l'autre tread.)
Georges pousse doucement la porte et fait un pas à l'intérieur et prend connaissance des lieux.
- M.Larkin??? Il y a quelqu'un???

Georges pousse la porte et se retrouve aussitôt dans une cuisine classique : une grande table centrale, un poêle à bois, un évier avec une pompe à eau, quelques armoires, des rideaux beige aux fenêtres.

Sur la table se trouvent les restes d'un modeste repas de Pâques ; quelques tartes, des oeufs... Les chaises sont repoussées et l'une est tombée par terre.

Une ouverture devant vous permet d'aller dans une autre pièce et, à votre gauche, des escaliers montent au deuxième étage.

Georges n'obtient pas de réponse à ses appels. Tout est silencieux.

- J'aime pas ça! Où sont-ils???
- Commençons par fouiller le premier étage!
Georges se dirige vers l'autre pièce.

Clark examine perplexe la.cuisine. Malgré l'absence des Larkins, il sent qu'il s'est laissé emporter dans l'action sans qu'il n'en soit vraiment nécessaire.

-On aurait pu attendre que d'enfant s'explque avant de foncer ici tête baissée. Après tout on à aucune idée pourquoi il pleurait.

Il regarde George et voyant que ce dernier prend cela plus au sérieux il dit

-Bon je vais aller vérifier la grange, ils doivent être là. Il doit juste être tombe et s'être fait mal.

En franchissant la porte il maudit les anciens combattants et leur manie de toujours imaginer une situation horrible dans chaque événement du quotidien.

- Bonne idée Dewey! Demande à tes oncles de t'accompagner!
- Moi et Barkley on va faire le tour ici!

Dewey, Ed et Clay sortent de la maison et se dirige vers la grange (voir : la grange des Larkins).


Albert demeure avec Barkley et Georges.

Les trois hommes passent dans la seconde pièce : il s'agit d'une sorte de grande salle commune contenant une cheminée où se trouvent les braises d'un feu récent, avec des chaises en demi cercle autour du foyer. Sur les murs, quelques images pieuses. Une porte devant vous donne sur l'extérieur (on aboutira logiquement derrière la maison). Deux autres portes se trouvent dans la pièce : une à gauche et une autre à droite.


Note : attention, la maison à l'intérieur n'est pas tout à fait identique à ce qu'elle apparaît sur le plan...

Georges continue à interpeller M.Larkin et se dirige vers la porte de gauche.

Ouvrant la porte, Vernon constate qu'il s'agit d'une chambre, probablement celle de M. et Mme Larkins. Il y a un grand double lit, une énorme commode, un miroir, une penderie et une table de chevet avec des photos de famille. Sur le mur, encore une fois, se trouvent plusieurs images pieuses.

Tout semble en ordre (lit fait, vêtements rangés, etc.).

- il n'y a rien ici! Allons voir l'autre porte!
Georges se dirige vers la porte de droite quand on est dans la pièce centrale.

Ton frère y est déjà : c'est un simple placard où l'on range le bois et les balais...

Attendons de voir si Barkley veut faire quelque chose...

Barkley va les suivre, mais  rester un peu a l écart, il est encore pas mal amoché.

Alfred dit :

- J'ai l'impression qu'ils sont partis en quatrième vitesse. Mais où ?  Et pourquoi ?  Y'a peut-être du monde en haut. Je vais voir.


Note : Barkley ne pourra pas tellement "rester à l'écart" s'il suit les deux hommes.

Georges part à la suite d'Albert dans les escaliers.

Puisque Barkley veut rester à l'écart, j'imagine qu'il demeure en bas.

Les deux hommes grimpent les escaliers étroits et abrupts. Il y a une sorte de porte horizontale en haut qu'il faut pousser accéder au premier étage. Albert passe suivi de Georges.

En haut se trouve une assez grande pièce avec deux lits sur lesquels se trouvent des poupées. Il y a aussi une petite commode. Une fenêtre donne sur la cours arrière et, aux murs, on peut observer de petites images de la vierge. Au bout de la pièce, vous apercevez une autre porte, entrebâillée, vers laquelle se dirige Alfred.

La poussant, il se retrouve aussitôt dans une autre chambre, beaucoup plus exiguë. Il y a à peine de la place pour un petit lit et une armoire. Georges apparaît juste derrière lui et peut apercevoir une caisse aux pieds du lit. Il peut aussi faire un jet de Connaissance de degré Moyen.


Albert dit :

- Tiens, pas d'icône ici, pas de photos de pape, pas même de crucifix...

(J'ai 50% en connaissance. Je crois que j'ai une réussite automatique.)
J'avais noté moi aussi! C'est plutôt curieux!

Vernon remarque tout de suite deux choses :

- cette caisse au pieds du lit est celle qu'utilise les soldats

- la manière dont le lit est fait indique qu'il l'a été par un militaire

- Cette caisse est utilisé par l'armée!
- Barkley! Viens-voir ce qu'on a trouvé!!!
Il se retourne vers Albert.
- Albert dis-moi, Est-ce que les Larkins ont un de leur fils qui est militaire ou qui est aller à la guerre?

Il songe un instant et dit :

- Bein, oui, maintenant que tu en parles, il y a l'ainé, Henry. Il est revenu de l'autre bord avant vous autres, peut-être une couple de mois avant... Un gars de 21 ou 22 ans... non, 21 ! C'est vrai. Il avait tout juste cinq ans de plus que sa soeur, Mary. Une maudite belle fille...

il monte vor ce qui se passe qusnd il entends Vernon l'appeler.

- t'as quelque choses?

Georges lui montre la malle.
- J'ai pas la berlu! C,est une malle militaire ça? Et Albert me dit qu'Henry Larkin est revenue d'Europe un peu avant nous! De plus, c'est la seul pièce ou il n'y a pas de signe religieux!
Il marque une pause.
- J'espère qu'on a pas affaire à un militaire qui est viré fou! J'en ai tellement vu à l'hôpital militaire! C'est pas chic !

Albert devient visiblement mal à l'aise.

- Faudrait avertir les autres. On n'a pas de preuves, mais si c'est ce que tu dis et qu'il a une arme, on risque de se faire tuer.

Après une seconde, il souffle :

- Maudit ! Et la famille ! Sacrament Georges, faut faire de quoi !

-vous avez tous les deux raison, rien de pire qu'une ame brisee avec un fusil. si c'est le cas il faut l' empecher de faire une grosse connerie.

Vous vous apprêtez à redescendre et, comme si Jo avait appelé le mauvais sort, une détonation d'arme à feu déchire l'air du côté de la grange !

Vernon et Barkley se regardent et ils n'ont pas besoin de dire un mot car ils ont entendu ce genre de détonation des milliers de fois : un Springfield M1903. Une arme d'épaule qui fait des trous de la grosseur d'un raisin.

- Merde! Vite allons à la grange!
- Prends le colt dans la boite à gants Barkley! Je vais prendre mon batte de baseball!
- Albert tu devrais peut-être te planquer en lieu sur!