Au long des chemins...

(Je ne suis pas sur de comprendre? Tu veux savoir comment je procède pour ouvrir la porte ou ce que je fais après être entré?)

Exact : ce que tu fais en entrant ou si tu prends des mesures particulières. Tu peux aussi juste entrer et ça finit là.

Georges entre dans la bâtisse derrière son neveu et jette un coups d'œil aux alentour.
- Bordel Dewey! Quel tête de mule ton Harris!

Vous pénétrez dans une petite pièce (vous arrivez par le sud de l'image) presque vide et très sombre (pas de lumière sinon par la porte ouverte). Il y a une porte au fond (au nord) et une table avec deux chaises. Sur la table, pêle-mêle, des tas de papiers, des crayons, des boites de conserves ouvertes, des bouteilles de Coke, des papiers gras, des ustensiles sales, des ossements grugés. Il y en a jusque par terre.



Harris a reculé vers le mur et il a l'air effrayé :

- Clark ! Du calme !

Dewey s'approche de lui, menaçant :

- Ou tu me dis ce que tu fous ici, ou bien mon oncle joueur de Base-ball ici présent va te faire parler d'une manière ou d'une autre !

Il bluffe, bien entendu, et il compte le faire avouer de cette manière. C'est risqué, car il pourrait se refermer comme une huître...


Jet de baratin de degré Difficile. Ce sera un test moyen si son oncle réussit un test de Prestance + Batte de base-ball de degré Moyen pour avoir l'air menaçant !

Harris (en rappel).

(J'ai 50% dans les 2 compétences. C'est donc une réussite automatique.)
Georges tape son batte dans sa main à plusieurs reprises tout en jetant un regard sombre à Harris.

Les deux baratineurs semblent venir à bout des réticences de Harris (réussite automatique : Dewey est aussi menteur que son oncle). Son regard effrayé va de l'un à l'autre, puis, en tremblant, il se dirige vers la table et s'assoit sur une des deux chaises.

Vernon remarque alors son air encore plus négligé qu'il y a quelques jours au restaurant.

Dewey te fait signe de "ranger" ton bâton et il s'approche doucement de son collègue et lui parle plus calmement :

- Allons, Harris. On s'est un peu énervé, mais je veux juste savoir ce qui se passe. Tu te caches et tu risque de nous coûter nos postes à l’université. Tu sais comment est le bonhomme Hydes.

Harris sourit un peu et Clark poursuit :

- Et tout ça pourquoi ?

À ces mots, le visage de Harris s'illumine, il se lève et dit :

- À toi, Clark, je peux bien le dire : tout ce que je fais vaux la perte de nos postes, et encore plus !

Il semble exalté, puis, il se ravise et jette un oeil inquiet vers la porte fermée...

Georges regarde lui aussi la porte à la recherche d'indice ou de ce qui pourrait inquiété Harris.
- Si vous n'êtes pas à l'aise ici! On pourrait aller discuter ailleurs, chez Lucy par exemple!

Harris semble hésiter...

Vernon doit faire un test de crédit de degré facile.

(J'ai 15% en crédit, je dois réussir un jet.)

Le membre 'Georges Vernon' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'D100' : 21

Il hésite, puis il dit :

- Je crois que le mieux est de vous montrer. Le professeur ne devrait pas trop se fâcher...

Il semble avoir retrouvé un enthousiasme fervent. Il se dirige vers la porte, l'ouvre et dit :

- Venez !

Alors qu'il passe dans l'autre pièce.

Georges étant de nature curieuse le suit.

Harris pénètre dans la pièce suivi de vous trois.

Il s'agit d'une pièce immense et vide qui devait accueillir une quantité de machines à une certaine époque. Tout a été démantelé depuis le temps. Les fenêtres sont barricadées et les portes condamnées.




La seule chose que vous apercevez à la lueur de quelques ampoules crasseuses qui pendent au bout de fils suspendus au plafond est une grande plaque de métal de dix mètres placé contre le sol. Tout autour se trouve des fils électriques qui doivent sans doute se rendre au transformateur dehors. Il y a aussi des tuyaux de métal, des anneaux de fer, etc. Tout ça doit peser très lourd.

Harris semble enthousiaste :

- Oublie le téléphone Clark !  Cette invention lui est bien supérieure et va renverser toute nos notions de distances !  Grâce à elle, on peut communiquer... avec d'autres planètes !!!

Clark fait une moue méprisante qui enflamme Harris :

- Je savais bien que tu n'en croirais rien !  C'est pour ça que je voulais garder ça pour moi !

S'approchant de la machine pour en faire le tour, Clark dit :

- Ton tas de ferraille semble surtout utile à consommer une quantité hallucinante d'électricité. C'est tout.


Harris s'écrie :

- Ah ouais !  Attend un peu !

Il se dirige vers un coin sombre et en revient avec une sphère, lisse, grosse comme une balle de base-ball.


- J'ai vu !  J'ai cru !  Il faudra te faire voir et toi aussi tu constatera la nouvelle puissance entre les mains de l'humanité !


S'approchant de la plaque, il actionne un levier. Aussitôt, l'activité d'un courant électrique très puissant se fait entendre. Tout le monde peut faire un test en mécanique de degré Difficile.

Georges fronce les sourcils incrédule et tente de comprendre comment fonctionne la machine.
(J'ai 50% en mécanique, je dois réussir un jet.)

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'D100' : 66

Barkley sourit mais il es currieux de savoir ce que cet hurluberlu va leur expliquer. Il va tenter de comprendre les intentions de Harris (Psychologie 75) et il ne le quitte pas des yeux.

- D'autre planètes? Hey ben! Ils vous ont tu répondu? Ça marche comment?

Barkley doit faire un test de Psychologie de degré Moyen.

Réussite automatique.

Harris ne semble pas fou à Barkley, seulement très très enthousiaste. Avec son physique, il ne semble pas dangereux, mais Jo sait qu'on doit pas se fier à ça : il a vu des soldats frêle accomplir des exploits physiques incroyables en situation de stress. Et justement, Harris est fébrile. Après avoir actionné le levier, il se tourne vers toi et se lance dans une série d’explication auxquelles tu ne comprends rien. Il conclut :

- Bien entendu, tout ça ne servirait à pas grand chose si le professeur ne m'avait orienté et donné la sphère d'Étherium !





Il prend la petit boule lisse qu'il dépose tout doucement dans le cercle. Cette dernière glisse lentement vers le centre et se met à tourner sur elle-même, comme si elle lévitait dans les airs.

Ça pourrait paraître comme de la magie, mais Vernon constate vite que c'est le champs électro-magnétique au-dessus du cercle qui la maintient en place.

Après 20 secondes, la sphère se met à briller. Autour de vous, c'est le silence, à part le grondement sourds des câbles électriques qui alimentent la machine.

Georges examine la machine à nouveau, peu rassurer par le grondement des cables électriques.
- J'espère qu'on ne va pas sauter avec la machine!

Soudainement, la sphère devient lumineuse puis disparaît. L'air devient flou tout autour de la plaque, comme si de petites lumières argentées clignotaient.

Harris s'écrit :

- Attention ! Regardez bien !

Peu à peu, les lumières se colorent de diverses teintes s'assemblent peu à peu dans une espèce de sphère d'une dizaine de mètres de diamètre. Cela ressemble un peu à du pointillisme : une myriade de points qui, regroupés en unités, donnent une forme. Il vous semble peu à peu apercevoir une image en trois dimensions. Harris déplace un gros curseur en métal et les points se stabilise. L'air est lui même électrique et de petits éclairs s'échappent de la plaque de métal au sol.


Enfin, une image assez claire se présente à vous :



C'est un paysage, inconnu, étrange, fascinant. On dirait que des créatures gigantesques se déplacent en arrière-plan...


(Il est temps de lancer un jet de santé mentale. Cette fois-ci, votre point d'aplomb n'est d'aucune utilité).

(J'ai 49% en SM.)
Un frisson parcours la nuque de Georges.

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'D100' : 38

Clark regarde la scène, incapable de croire ce qu'il voit.

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'D100' : 86

sm 40